Quand j'écris sur l'ordinateur, j'écris très souvent « chine » au lieu de « chien » et « viet » au lieu de « vite ». Mes doigts sont pénibles avec ça.
Mais « viet » n'est pas reconnu comme un mot de la langue française ( pinaise
) donc le correcteur orthographique me le souligne et je corrige vite (ou viet).
J'ai aussi une tendance désagréable d'inverser deux lettres dans mon nom lorsque je dois l'écrire au clavier quelque part et que je tape un peu vite (toujours les mêmes, je ne sais pas si je dois y voir un message de mon subconscient et si c'est le cas je me demande si il ne serait pas illettré, car je ne pige pas ce qu'il cherche à me dire).
Sur papier en général mes coquilles les plus pénibles c'est des répétitions de mots que je fais parce que j'ai été interrompu par divers facteurs au cours de l'écriture de ma phrase.
Mais les coquilles type inversion de lettres se remarquent assez peu sur mon écriture cursive car j'écris comme un porc et souvent les lettres se confondent en un magma inextricable que moi-même il m'arrive de ne pas pouvoir relire.
Allez, cadal... J'ai retrouvé une vieille « feuille de dialogue » (depuis le collège j'ai pris l'habitude de dialoguer par feuilles de papier avec mes voisins, ça a perduré au lycée, à la fac, et dans n'importe quel lieu qui demande d'écouter silencieusement en étant assis avec des gens assis à côté de moi -conférences, débats et autres-).
J'ai longtemps eu quelques problèmes avec les homophones en français :
(Je traduis parce que je me rends compte que je ne suis pas super lisible : « c'est une taille
résonnable »).
Pour ma défense je crois que ce papier date du lycée... Hum...
Sinon, je ne parlerais pas de la sombre et dramatique histoire d'une coquille sur le mot allemand "bitte"...